Le cochon se savait condamné. Ses hurlements s’entendaient jusqu’en face, sur la rive droite où également étaient amassés les adultes du Pont. L’issue était fatale, bien que …
J’ai entendu dire qu’un jour, Victorine n’était pas à la fête. Comme le dit si bien le dicton « A trop tirer sur la corde, elle finit par rompre « .
Le cochon se libéra de son attache et le voilà dévalant la pente et traversant l’Allier d’un seul jet malgré le courant et se retrouvant à Gourlong. Il me semble qu’à la fin, il retrouva ses liens et finit comme ses congénères.
Un autre épisode de ces souvenirs qui me revient, celui de l’oncle André que j’accompagnais quand il fauchait le pré de la croix. Toute une histoire …
En PJ, la carte professionnelle de Victorine.
Bises cousine »
Décembre 2015
En espérant lire un jour le souvenir dans le pré de la croix avec André…