Labour

Ladislas Reymont (1868-1925) est un des plus grands romanciers polonais. Il n’est rien de plus émouvant que ce tableau de la vie paysanne en Pologne au lendemain de la première guerre mondiale.
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Au nom du Père, du Fils et du saint-Esprit ! prononça gravement le paysan, et, s’étant signé avec dévotion, il empoigna la charrue.
- Hue ! allez-y lentement, mais tirez dur !
Il fit claquer son fouet par habitude. La charrue attelée d’une vache et de trois personnes s’enfonça dans la terre et rejeta une tranche de terre noire, luisante. C’était de la terre lourde, une vieille tréflière usée jusqu’à la dernière tige et battue comme une aire, si bien que les mottes versées étaient hérissées en pointes, bien que la charrue n’allât pas profond.
Une petite vieille, dont la forme avait à peine apparence humaine, écrasait les grosses mottes avec une petite houe; quelques corneilles sautelaient derrière elle, se choisissant des vers blancs dans le sillon.
Le labourage progressait avec une peine et une lenteur infinies; c’était une vieille charrue à rouelles, avec un attelage misérable : la première paire qui tirait, c’était une femme et une vache, jointes l’une à l’autre par un joug de bois commun, tandis que par devant, attelés à une sorte de harnais, s’escrimait une grande jeune fille avec un gamin. La vache n’était qu’un squelette revêtu de peau, mais les créatures humaines n’étaient non plus que des ombres. La même longue faim obstinée brillait dans leurs yeux; couverts de loques, hâves, pieds nus, ils tiraient cependant en bonne harmonie, sans plaintes ni récriminations, se courbant vers le sol dans leur terrible effort, et cela avec tant de vigueur que cordes et palonniers craquaient.
- Si seulement on pouvait façonner trois ou quatre arpents ! songeait à haute voix le paysan, qui se traînait à peine derrière la charrue. Il avait le chef couvert de son bonnet d’agneau, des débris de peau de mouton lui pendaient sur le dos et ses pieds malades étaient enveloppés dans des linges.
- Le seigle est mal parti, – il regardait les billons verdâtres qui s’étendaient à côté – on va planter des pommes de terre au hoyau, on va semer de l’orge, disons un quarteron de petits pois, et avec l’aide de Dieu on ne crèvera peut-être pas de faim ! Hue ! les encouragea-t-il en poussant vigoureusement la charrue.
- Faudrait aussi quelques billons pour y semer du lin et y planter des choux, rappela la jeune fille à voix basse.
- Mais t’oublies qu’ils t’ont pris les semences ! s’écria la femme. Je les avais mises de côté pour les semailles, et pour avoir une goutte d’huile. Mais ils les ont flairées comme si ça avait été du miel ! Tout ça, c’est du travail pour rien, pour rien du tout !
- Ça va de nouveau donner de la pluie ! Draine l’eau du seigle, que je t’ai dit, Magdus (1), il pourrit près des raies ! Y’a pas d’erreur, ça va donner de la pluie ! Il parlait pour faire oublier ce que sa femme avait dit de décourageant.
Et en effet, ce matin d’avril qui s’était levé beau et clair se rembrunissait et s’assombrissait; le soleil apparaissait comme une hostie au fond de la brume. La plaine s’étendait alentour, grise et trouble, aussi loin que l’œil pouvait voir, marquée seulement ça et là par les toiles blanches des eaux débordées et par des bouquets d’arbres. Le printemps jeunet avait à peine effleuré la terre; déjà cependant les saules bourgeonnaient; les boutons d’or mettaient du jaune dans les prés; des pâquerettes ouvraient les yeux au bord des fossés; les semis d’automne se duvetaient de vert et les alouettes tireliraient de l’aube à la nuit, mais dans les champs, tout était encore gris, désert et étrangement triste.
- Tout ce qui a âme au corps sort travailler ! remarqua le paysan lorsqu’ils eurent atteint la lisière et qu’ils revinrent vers le village.
Personne ne répondit; ils soufflaient, accroupis dans la raie.
- Sur les terres du château aussi on travaille ! Quatre paires attelées, rien que ça ! En voilà un équipage ! fit-il avec compassion.
- Ne te fais pas de bile pour le châtelain, il saura soigner sa peau, grommela la femme. Il va encore commander aux paysans de l’aider au labourage. Ça sera comme à la moisson ! Et une colère le prenait.
- Mais oui, ça sera la même chose, mais pas pour rien, que diable ! il a payé
- Il a payé ce qui lui a plu ! On nous a forcés à aider le château, comme une corvée, pardi ! remâcha-t-elle.
- Allons, pas de temps à perdre. Tirez seulement ! Tomek (2) qui herse déjà son orge ! observa-t-il en regardant à gauche.
- Il a fait son premier labour avant l’hiver, alors maintenant le patron y suffit, sans atteler personne d’autre que sa vache. Est-ce que je ne t’ai pas répété sur tous les tons : Wojtek (3), laboure ! Y avait le cheval et le temps ne manquait pas. Tu as préféré prendre le cheval pour aller aux foires et giberner dans les auberges avec des coquins, et maintenant c’est moi et les enfants qu’on doit tirer la charrue, comme des bêtes !
- C’est vrai, femme, tu dis vrai, avoua-t-il humblement. Je me serais plutôt attendu à la mort qu’à ne pas avoir mon cheval au printemps; oui, plutôt à la mort ! et il poussa un gros soupir. Ils se dirigeaient vers le village, qui s’étendait en travers des champs; sur une pente douce reposait au soleil une vraie digue de vergers d’où saillaient à proches intervalles des cheminées nues, des charpentes de chaumières incendiées et des décombres de bâtiments. La moitié du village était en ruines. Le château dressait à droite, derrière un grand étang, la masse noire de ses murs et de ses briques fracassés, de ses toits démolis; du parc immense, il ne restait plus que les moignons lugubres des arbres déchiquetés, qui semblaient menacer le ciel comme des poings. La guerre (4) avait passé par là, et à chaque endroit étaient marquées les traces et ses griffes impitoyables. Elle avait mis les villages en pièces, brisé les forêts, piétiné les champs, et laissé sur ces terres fécondes les sordides levées jaunes des tranchées et d’interminables rangées de tombes qui dressaient les arbres blancs de leurs croix.
- Wawrzon (5) laboure avec deux vaches, babilla le gamin en s’arrêtant à cette occasion.
- Regarde donc ton travail, et pas la queue des autres ! Il entendit la réponse en même temps que le sifflement du fouet.
Ils ne dirent plus rien, mais tirèrent la charrue inlassablement, en remarquant que bientôt après eux le village entier était sorti au travail et qu’il n’y avait guère de champ où quelqu’un ne remuât. Dans l’air gris, vaporeux, les gens s’affairaient comme des fourmis, doucement, lentement et exactement. Qui avait attelé son cheval, qui sa vache, qui les membres de sa famille, mais chacun labourait, semait ou hersait. Il en était aussi qui retournaient cette sainte terre à la bêche, autant dire avec leurs ongles nus, dans un sombre acharnement.
- Mon Dieu, les autres années y avait bien un cent de chevaux qui sortaient au travail ! soupira le paysan.
- Et c’en étaient-ils des chants, des cris, du tapage ! Ohé ! rappela doucement la jeune fille.
- Le Seigneur Jésus savait ce qu’il faisait !marmotta la vieille en s’asseyant sur une grosse motte, car ils s’étaient arrêtés pour reprendre un peu force et souffle. Le mal s’est tellement multiplié que fallait bien qu’il y ait un châtiment ! Du coup, ils deviendront plus humbles les charognes ! Chacun s’élevait au-dessus du prochain, les orgueilleux ! Ils ne croyaient qu’aux arpents et aux sacoches pleines ! La misère des autres, la justice, ça n’existait pas pour eux ! Le monde n’était qu’à ceux qui semaient les roubles ! Le Seigneur Jésus leur a donné une rude leçon !
- Mais les bons eux aussi ont bien souffert ! interrompit tristement la plus jeune. Ils labourèrent de nouveau dans un profond silence. Le paysan ruminait les paroles de la vieille et recherchait soigneusement dans sa conscience en qui il avait pu mériter le châtiment. Finalement il dit d’une voix dure :
- Les châtelains se font la guerre et c’est la peau du paysan qui écope ! Il cracha et cingla la vache si fort qu’elle en meugla.
- Hé, dis donc, prends garde ! c’est notre dernière bête ! s’efforça de le calmer sa femme.
- Silence ! Hue, charognes, ou je vous casse les os ! tonna-t-il en fureur.
- Papa, les cigognes qui sont revenues, s’écria tout à coup le gamin en montrant de la main. Mon Dieu, les cigognes !
Ils s’arrêtèrent à regarder les cigognes qui planaient au-dessus du château en ruines et du parc.
- Où c’est qu’elles vont faire leurs nids ? soupira la femme en s’apitoyant. Les pauvres orphelines !
- Ils n’ont même pas épargné le peuplier mort ! Fallait qu’ils détruisent tout ! s’indignait-il sourdement.
Les cigognes se laissèrent glisser sur les prés inondés; un chien se jeta vers elles avec un aboiement joyeux.
Un peu de gaieté monta à tous les cœurs, comme si la venue des des cigognes y faisait fleurir une espérance.
- Allons, tirez donc ! Joziek (6), ne tortille pas la tête, tu vas recevoir un coup de fouet ! réprimande le paysan, mais déjà sa colère le quittait, et ses yeux à lui aussi se portaient à tout moment vers les prés tandis qu’il se disait des choses à lui-même :
- Quand les cigognes reviennent au nid, la guerre s’envole ! déclara-t-il avec une conviction profonde.
Et de nouveau les nuques s’offrirent au joug, les dos se courbèrent, les jambes s’arc-boutèrent dans la terre, et ils tirèrent la charrue dans un silence morne. Tout à coup, le ciel s’assombrit encore et une vilaine petite pluie se mit à tomber. Elle s’épandait assez abondamment, comme à travers un tamis, enveloppant le monde d’une sorte de tremblotement vitreux dont le froid et l’humidité pénétraient jusqu’aux os. La giboulée printanière avait tout l’air de vouloir durer et le labourage devenait de plus en plus difficile et exténuant. Les pieds glissaient, en sorte qu’une fois après l’autre, quelqu’un tombait sur le nez; les forces commençaient à manquer, le joug frottait douloureusement, tandis que les cordes sciaient jusqu’au sang les épaules et la poitrine des enfants. Ils tiraient cependant sans se plaindre ni gémir, trébuchant et changeant souvente fois de place dans l’attelage. Le paysan les remplaçait chacun à son tour et c’était tantôt la femme, tantôt la fille, tantôt le gamin qui conduisait la charrie.  Ça n’aidait guère pourtant; le travail devenait de plus en plus malaisé, et  chaque nouvelle tranche de terre retournée paraissait humectée non pas tant par la pluie que par le sang et la sueur que coûtaient ces efforts terribles. Parfois même, quand le souffle leur manquait tout à fait, ils se laissaient choir à terre, et restaient étendus là, comme des bêtes harassées, immobiles comme des souches, dans un oubli complet d’eux-mêmes.
Mais ils ne se reposaient pas longtemps, car la nécessité inexorable les attelait à nouveau au joug, les contraignant à suer tout leur sang.
Le fantôme terrible de la faim se dressait pas à pas derrière eux et les pourchassait avec le fouet du désespoir.
- Avec le Blanc, y a déjà une éternité que j’aurais fini ce labour ! échappa-il au paysan.
Une soudaine douleur s’empara des cœurs, arrachant aux yeux des larmes amères, des larmes du souvenir.
- Je leur ai dit la vérité : il est scrofuleux et il a la grippe. Ils ne m’ont pas cru ! Évidemment, à le voir, c’était un cheval beau comme en peinture, vigoureux, et une démarche comme un cheval de harnais. Dame, c’est pas étonnant, ses parents étaient au château ! Je les ai implorés à genoux : ne nous l’enlevez pas, que je leur ai dit, c’est notre nourricier ! Dix arpents de terre, une famille de six, et le printemps à la porte, que je leur ai dit ! Qu’est-ce que nous deviendrons sans cheval, je vous le demande ? Que je leur dis. Ils ont bredouillé je ne sais quoi et ils l’ont pris !
C’était bien la millième fois qu’il répétait ça. Ce moment où il avait perdu son cheval lui restait toujours à la mémoire; c’était l’incurable blessure par laquelle sa vie s’enfuyait.
- A quel cheval ! Jacek m’offrait en échange une paire d’alezans, mais je ne voulais pas de ce marché, à moins qu’il n’y ajoute une somme.
- Et comme il était espiègle ! Vous vous souvenez comment l’an dernier il a tiré la couette de dessus la clôture et couru avec, par tout le verger, sans vouloir qu’on la lui enlève !
- Et quand on le sifflait, il accourait comme un petit chien, rappela le gamin.
6 Il était là, il était là, et maintenant il ne reste rien de lui, pas même une crotte ! Cré nom de charognes ! Hue ! Hue !
Du coup la vache se renversa; les femmes éclatèrent en sanglots, chacun courut au secours. Heureusement, la bête n’avait pas eu de mal et elle se laissa remettre sur ses jambes.
- La Tavelée ! Mon Dieu ! La Tavelée !se lamenta la femme en lui essuyant la boue et la caressant comme un enfant bien aimé. Elle pourrait bien encore perdre sa dernière goutte de lait !
- Même sans ça, ce que nous mangeons, les cochons n’y toucheraient pas !
- Si la carotte ne vaut rien au au bétail, essayez voir du raifort !
- Attends un peu, j’te vas donner quelque chose de meilleur à manger ! cria le paysan à son fils, en lui cinglant le derrière d’un coup de fouet.
- Ne me battez pas, ou bien je vas tout plaquer et me sauver au bout du monde ! menaça-t-il en pleurnichant.
- Ça fera une gueule de moins à nourrir ! C’est ça, mets-toi en route, fiston ! La mère va te préparer ta besace. Aie pas peur, tu récolteras ! Oui des coups de bâton sur les épaules, voilà ce que tu récolteras ! Ou bien peut-être que tu vas rejoindre les soldats ! Ça t’irait comme un gant, de briser, de voler et d’incendier ! Va seulement, fiston ! grommela-t- il, touché au vif.
- Je disais ça seulement comme ça, et voilà que vous me tomberez comme sur un chien hargneux ! Vous savez, reprit-il aussitôt en passant à tout autre chose, le Blanc avait peur des soldats !
- Espèce de sot ! Un cheval pareil, et il aurait eu peur de de quelque chose ? Allons donc !
Il en était presque offensé.
- C’est la vérité ! L’été dernier, je suis allé avec lui une nuit par les fossés dans le trèfle du château. Y avait aussi d’autres copains. On tenait les chevaux au licol, prêts à filer. Et malgré ça, à l’aube, le garde nous a pincés ! Mais il ne nous a pas battus et il ne s’est pas occupé des chevaux; il a seulement crié : Les Moscovites qui dévalent à travers la forêt ! Et il a piqué des deux en avant; et nous tous derrière lui. Nous nous sommes arrêtés dans le boqueteau au bord de la route ! Mon Jésus ! C en était une belle fourmilière que les baïonnettes se balançaient comme du seigle dans un champ, on n’en voyait ni le commencement ni la fin. J’avais à peine regardé que les trompettes se mettent à sonner de toutes leurs forces. Du coup, voilà le Blanc qui lève la queue et qui détale à travers champs ! Il m’a flanqué dans un fossé et a fiché le camp à la maison.
- Ah, tiens, c’est comme ça que ça s’est passé ? Je me rappelle maintenant que pendant toute une semaine, le cheval n’a pas voulu manger, et ça n’a fait que boire et gémir. Ce que je me suis creusé la tête ! Attends un peu, tu vas me payer ça !…
- Voyons, pas de sottises ! fit la mère pour le défendre. C’est ça, fais un procès pour la neige de l’an passé !
- Pour qu’il ait ce qu’il mérite et qu’il apprenne à ménager le cheval, il aura sa raclée ! promit-il.
Mais les choses en restèrent là car le souvenir du cheval perdu fut du coup ravivé en eux tous et un même chagrin s’empara d’eux.
- Vous savez, raconta la jeune fille pendant un repos, plusieurs fois déjà, il m’a semblé la nuit entendre le Blanc hennir contre la chaumière. Je pensais bien sûr que c’était un rêve et que j’avais dormi. Mais l’avant-dernière nuit, quand je me suis réveillée, j’ai bien entendu quelque chose qui hennissait. Je sors dehors et je regarde : est-ce que c’était le Blanc ou pas ? Je fais le signe de la croix et je me frotte les yeux : quelque chose de blanc qui bouge près de l’écurie ! Je me dis comme ça : il s’est sauvé de chez ces voleurs et il a couru chez nous ! Je me précipite vers lui, mais c’était comme si le vent avait tortillé du brouillard en écheveau, tout s’était évanoui je ne sais où. Pourtant sur la route, il y avait comme un bruit de galop, et le chien des Wawrzon s’est mis à courir comme un fou et à aboyer. Je n’y voyais plus clair, tellement j’avais peur. Peut-être qu’il a crevé et que maintenant il revient la nuit comme un esprit et cherche les siens…
- Alors que tu crois comme ça que les chevaux font des apparitions après leur mort, comme les âmes en pénitence ? gronda sa mère.
- Ne dis pas ça. Mais j’aurais juré pourtant que je le voyais… et j’aurais jugé devant l’autel !
- C’est qu’on lui avait fait du tort ! Et cependant il avait tout ce qu’il lui fallait, et pas beaucoup de travail.
- Maintenant vous le trouvait si bon, et pourtant vous lui flanquiez des coups de palonnier et vous juriez après lui, dit le gamin pour le piquer, car il lui gardait rancune.
Ils se turent. La pluie redoublait; déjà l’eau luisait dans les sillons et la terre enfonçait sous les pieds et chaque tranche de terre taillée coûtait de plus grands efforts. Et pourtant ils labouraient inlassablement. Les yeux leur sortaient des orbites, leur sang ruisselait sous le joug et les cordes, il s’en fallait de peu  que leurs os craquent et que leurs têtes ne chavirent, mais le paysan les chassait impitoyablement en avant.
- Tuez-moi, je n’en peux plus ! gémit tout à coup la jeune fille en s’effondrant à terre. Ils s’assoupirent près d’elle; sa mère lui frotta le visage, tandis que le paysan se mettait à lui expliquer :
- Dame, pas moyen autrement ! Repose-toi, fillette ! Y a pas, faut en passer par là ! Faut mettre au moins un demi arpent en pommes de terre ! Qui ne sème ne récolte ! Alors, quoi ? Veux-tu que nous crevions de faim et que nous abandonnions ce qui est à nous pour aller mendier notre pain dans le monde ? Ça non, charognes, jamais ! s’écria-t-il, en serrant les poings et en roulant des yeux menaçants.
Ils continuèrent de labourer inlassablement, éperdument.

(1) Diminutif de Magdalena (Madeleine).

(2) Diminutif de Tomasz (Thomas).
(3) Diminutif de Wojciech (Adalbert).
(4) Celle de 1914-1918.
(5) Diminutif de Wawryniec (Laurent).
(6) Diminutif de Jozef (Joseph).

Janvier 2017

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