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Marc Moulin pressentait dès 2003 « La civilisation du couvre-feu » …
Plus de deux Français sur trois sont désormais sommés de Français chez eux le soir… Jean-Marie Burguburu, président de la Commission nationale consultative des droits de l’homme s’alarme du fait qu’« en temps de paix, la République n’a jamais connu une telle restriction des libertés », et estime que « la banalisation de mesures restrictives des libertés n’est pas admissible ». Dans un texte écrit en 2003 , Marc Moulin pressentait déjà » la civilisation du couvre-feu » …
« Je nous vois déjà dans 20 ans. Tous enfermés chez nous.
Claquemurés (j’adore ce verbe, et ce n’est pas tous les jours qu’on peut le sortir pour lui faire faire un petit tour).
Les épidémies se seront multipliées: pneumopathie atypique, peste aviaire, et toutes les nouvelles maladies. Et l’unique manière d’y échapper sera de rester chez soi. (…)
La vie de « nouveaux prisonniers » que nous mènerons alors sera non seulement préconisée, mais parfaitement possible, et même en grande partie très agréable. Grâce au télé-travail qui nous permettra de bosser à la maison tout en gardant les enfants (qui eux-mêmes suivront l’école en vidéo-conférence). Grâce à Internet qui nous épargnera bien des déplacements: on n’aura plus besoin ni de poster les lettres, ni d’acheter un journal «physique», ni d’aller faire la file dans les administrations. (…).
Dans les rues, il ne restera plus que des chiens masqués qui font seuls leur petite promenade (pas de problème, sans voitures), et du personnel immigré sous-payé en combinaison étanche, qui s’occupera de l’entretien des sols et des arbres. D’autres s’occuperont de la livraison de notre caddy de commandes à domicile.
Alors nous aurons enfin accompli le dessein de Big Brother.
Nous serons des citoyens disciplinés, inoffensifs, confinés, désocialisés.
Nous serons chacun dans notre boîte.
Un immense contingent de «je», consommateurs inertes.
Finie l’agitation.
Finie la rue.»
Vers la civilisation du couvre-feu,
https://www.youtube.com/watch?v=MgaKFvngaxo&t=11s
le 27 avril 2003,
Marc Moulin
Marc Moulin
Juin 2021
Publié dans Jardins et biodiversité
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Comment ça va ?
Je vous pose la question en ces jours particuliers.
Voici la réponse de certains de nos amis :
- Oedipe : La question est complexe.
- Socrate : Je ne sais pas.
- Hippocrate : Tant qu’on a la santé !
- Descartes : Bien, je pense.
- Pascal : Et vous ? Bien je parie.
- Galilée : Ça tourne rond.
- Vivaldi : Ça dépend des saisons.
- Newton : La question tombe à pic !
- Spinoza : Bien en substance.
- Shakespeare : Comme il vous plaira.
- Franklin : Du tonnerre !
- Robespierre : Vous perdez la tête !
- Marat : Ça baigne !
- Casanova : Tout le plaisir est pour moi.
- Pythagore : Tout est d’équerre.
- Beethoven : En sourdine.
- Sade : Foutrement bien.
- D’Alembert et Diderot : Impossible de répondre en deux mots.
- Kant : Question critique.
- Hegel : Au total, bien.
- Schopenhauer : Ce n’est pas la volonté qui manque.
- Marx : Ça ira mieux demain.
- Paganini : Allegro ma non troppo.
- Darwin : On s’adapte …
- Nietzsche : Au-delà de bien, merci.
- Proust : Donnons du temps au temps.
- Marie Curie : Je suis radieuse !
- Dracula : J’ai de la veine.
- Picasso : Ça dépend des périodes.
- Freud : Et vous ?
- Camus : La question est absurde.
- Cyrano : A vue de nez, bien.
- Poe : Extraordinairement bien.
- Einstein : Relativement bien.
- Léonard de Vinci, lui, se contente de sourire…
- Hemingway : Une cartouche de 12 et on n’en parlera plus.
- Stephen King : All is good, the sun is shining
- Saint-Exupéry : Ça plane pour moi.
- Sartre : Cette question me donne la nausée.
- Krishnamurti : J’ai conscience que ça va.
- Baudelaire : Aussi mal qu’une fleur fanée
- Molière : J’imagine que ça pourrait aller plus mal.
- Kafka : Tellement mal que j’ai l’impression d’être une blatte ou un cafard.
- Céline : Je souffre jusqu’au bout de la nuit.
- Rabelais : Tant qu’il y a du vin, ça va.
- Malraux : J’ai bon espoir que ça s’améliore.
- Boris Vian : La santé, ça fait longtemps qu’elle m’a déserté.
- Montaigne : Je fais des essais de nouvelles thérapies.
- Pagnol : On reprend un Pastis et on en cause.
- Rimbaud : J’enquille les saisons en enfer sur un chapelet diabolique.
Et vous ?
Avril 2021
Publié dans Morceaux choisis
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1, 2, 3, confinement !
Le premier confinement national de la France lié au Covid-19 eut lieu du 17 mars 2020 au 11 mai suivant.
S’ensuivit un deuxième pour la même raison du 30 octobre au 15 décembre de la même année.
Il me semble que, malgré ces récidives funestes à tous égards, nos dirigeants n’ont pas tiré les leçons de leurs mesures.
Alors qu’un troisième confinement vient d’être décrété dans seize départements dont ceux de l’Île-de-France et doit débuter ce vendredi 19 mars 2021 à 19 H, les informations télévisées montrent des images de la cohue de Parisiens fuyant là toutes jambes leur future prison, bien que dorée pour certains soit-elle ! https://www.lefigaro.fr/conjoncture/si-je-reste-a-paris-je-vais-faire-une-depression-avant-le-confinement-le-depart-precipite-des-parisiens-20210319
La mesure doit durer un mois.
Comme je plains ces personnes accablées par les confinements réitérés et sans fin ! Éternel recommencement sinistre dont on ne voit pas la fin !
Pourquoi est ce que ce troisième confinement me laisse perplexe ?
Parce que les écoles qui sont aussi, me semble-t-il, des lieux de contamination, restent ouvertes.
Parce que la stratégie gouvernementale confuse et incertaine a été un grand fiasco :
- par l’embrouillamini de l’épisode des masques,
- par l’annonce du triptyque « tester, tracer, vacciner » inappliquée,
- par l’échec de la mise en place des tests,
- par la bérézina de la vaccination,
- par la cacophonie des avis divergents…
Curieuse méthode qui entraîne encore cet exode des habitants franciliens !
Je me souviens qu’en mars 2020, de nombreux Parisiens avaient fui leur région pour ne mas se trouver claustrés et aller se mettre au vert malgré les injonctions à la limitation des déplacements par le pouvoir en place.
Celui-ci ne pouvait-il pas faire mieux pour diffuser le virus dans ces lieux loin de la région parisienne ?
Je crains bien que si.
https://parissecret.com/confinement-les-parisiens-fuient-a-nouveau-paris-les-reseaux-sociaux-samusent/
Mars 2021
Publié dans Santé et malvoyance
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L’affaire de l’hexachloroquine
J’ai lu un article très intéressant de Doctorix, un contributeur du média citoyen Agoravox, article qui m’a inspiré ce texte.
Comme ce chroniqueur, moi aussi, j’ai eu du mal à comprendre l’acharnement opiniâtre des sphères médiatique et politique contre Didier Raoult.
En fait, celui-ci se bornait simplement à présenter les résultats de son travail, avec, il est vrai, une aisance certaine à communiquer.
J’ai encore moins compris l’animosité verbale déversée contre ce vieux médicament élaboré entre les deux guerres, qui n’avait causé de mal à personne, bien au contraire.
J’ai supposé aussi que l’hydroxychloroquine, vendue sous le nom de plaquénil 200 mg, la boîte de trente comprimés, au prix modeste de 4,17 €, contrariait le marketing du commerce de médicaments aux prix bien plus lucratifs pour l’industrie pharmaceutique dominée par un petit nombre d’entreprises, dont Novartis, Roche, Pfizer, Johnson&Johnson, Sanofi… et dont les dix plus grosses génèrent 500 milliards de dollars par an. Et ce chiffre a doublé en dix ans !
J’ai en outre pensé que le succès de l’hydroxychloroquine, rendant ipso facto le vaccin sans objet, il devenait hasardeux d’équiper chaque personne d’une puce électronique afin de contrôler l’humanité selon les prévisions de Georges Orwell dans 1984.
Ce célèbre roman d’anticipation publié en 1949 décrit une Grande-Bretagne trente ans après une guerre nucléaire entre l’Est et l’Ouest censée avoir eu lieu dans les années 1950 et où s’est instauré un régime de type totalitaire fortement inspiré à la fois du stalinisme et de certains éléments du nazisme. La liberté d’expression n’existe plus. Toutes les pensées sont minutieusement surveillées et d’immenses affiches sont placardées dans les rues, indiquant à tous que « Big Brother vous regarde » (Big Brother is watching you).
1984 est communément considéré comme une référence du roman d’anticipation dans un monde utopique sombre. La principale figure du roman, Big Brother, est devenue une image métaphorique de la représentation de l’État policier et de la perte des droits individuels de la population ainsi qu’une façon de dénoncer les systèmes de surveillance (vidéo, voyeurisme, etc).
En tout cas, il s’agit d’une bisbille de petits marquis, ces personnages entichés de leurs titres et qui se prennent pour le dessus du panier des élites et pour lesquels les diplômes et les études remplacent le bons sens populaire et l’emportent sur tout autre avis que le leur.
Chez ces gens-là, on discourt, on tranche, on juge, on décrète. Pour eux, le peuple n’est qu’un grand enfant qui ne peut pas comprendre. Le mépris de cette caste de « sachants » imbus de leur savoir et de leur supériorité creuse davantage encore le fossé qui les sépare du vulgus.
L’étude du Lancet sur l’hydroxychloroquine constitue un excellent révélateur de ce qu’est notre nomenklatura. On a appris peu après que la publication avait été bidonnée selon Les Echos : La célèbre revue scientifique est visée pour avoir publié une étude fausse, voire falsifiée, sur l’inefficacité de l’hydroxychloroquine contre le Covid-19 (cf. https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/the-lancet-gate-saga-dune-etude-corrompue-1216931).
La revue a dû retirer l’étude déclarée bâclée, fondée sur des mauvaises données pour conclure à cette inefficacité du médicament.
Au cœur de l’affaire, c’est une obscure start-up américaine qui a fourni les datas initiales, à partir de 96.000 dossiers médicaux électroniques de patients atteints du Covid-19. Mais l’entreprise s’est révélée être une société fantôme dirigée par des profils plutôt éloignés de la science, à savoir une ancienne modèle porno comme directrice des ventes et une rédactrice scientifique spécialiste de science-fiction, notamment.
Les auteurs de cette étude se sont rétractés et ont quasiment avoué la tromperie dans laquelle ils avaient pourtant accepté de cautionner un article dont le but était de discréditer un remède proposé par Didier Raoult, spécialiste reconnu des maladies infectieuses et dont les publications nombreuses font foi.
Ce barouf grand-guignolesque permet de trouver ce qu’il y a de plus profond dans les idées des technocrates et spécialistes « ès quelque chose » si sûrs et imbus d’eux-mêmes.
Cette nomenklatura ploie l’échine et prête allégeance à l’autorité en place.
Tous ces gens-là se sont rencontrés dans les hautes sphères des classes préparatoires, d’HEC, l’ENA, Sciences Po, Polytechnique, etc.
On déteste Raoult parce qu’il gène ces courtisans, parce qu’il a les cheveux longs, qu’il n’accepte pas l’étiquette ni le protocole, qu’il,refuse le « pas de vague », qu’il méprise le mensonge et les courbettes, qu’il est différent. Il récompense ses équipes, affirme et argumente ses publications scientifiques.
Pour la nomenklatura, tout est à jeter dans le Raoult. On ne sait pas forcément pourquoi, mais on l’a lu dans un journal américain, on l’a entendu dans un dîner entre soi, donc c’est reconnu, c’est vrai. Qu’on lui dresse un bûcher !
Ce qu’aime le peuple est forcément une escroquerie ! Il faut dire que Raoult a, dans son insupportable résistance, commis une grave faute : il a bénéficié du soutien spontané du petit peuple de Marseille, et de bien au-delà. Les files d’attente devant l’IHU, composées de petites gens qui patientaient plusieurs heures pour recevoir le traitement miracle du bon docteur ont à la fois ulcéré et effrayé la nomenklatura.
Penser qu’une autre parole adoptée par le vulgus puisse concurrencer la Cour des officiels reconnus est inadmissible et bien trop populacier.
Didier Raoult représente donc un danger pour la sphère dominante. Et ça, c’est intolérable pour elle.
Il a souvent rappelé qu’il fallait SOIGNER les malades, soulager leurs maux, trouver des solutions en tâtonnant. Ceci est étranger à nos élites pour qui soulager les misères du vulgus est abscons.
Notre nomenklatura s’avère incapable de diriger, de décider ce qui est bon, de se « mouiller », de prendre des risques. Elle veut avant tout conserver ses privilèges, son pouvoir, ses prérogatives. Elle confond dangers et risques.
Ses prédécesseurs de 1788 avaient commis la même erreur. On sait ce qui leur est arrivé.
Mars 2021
Publié dans Santé et malvoyance
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Confinement : l’an I
On s’en souvient tous. Il y a un an, Emmanuel Macron prenait solennellement la parole pour confiner le pays. Un coup de massue pour les 67 millions de Français qui ne s’attendaient pas à une mesure aussi radicale à l’époque. Celle-ci était d’ailleurs totalement inédite dans l’Histoire de France. Jamais un gouvernement n’avait demandé à ses citoyens de se confiner à chez eux toute la journée.
« Restez chez vous, c’est ainsi que vous serez des alliés de notre guerre », demandait le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner. La « guerre », le mot avait été lâché à six reprises par Emmanuel Macron lors de son allocution du 16 mars 2020.
Pendant un mois et vingt-cinq jours, les Français se plieront ainsi à une vie sous cloche, dans un décor de fin du monde. Télétravail, départs à la campagne et applaudissements aux balcons, le mode de vie des Français s’est alors transformé en quelques semaines.
Un an plus tard, malgré l’arrivée du vaccin, la crise sanitaire est toujours là et un nouveau confinement plane sur le pays, en particulier en Île-de-France. À l’arrêt total depuis cinq mois, le secteur culturel crie sa colère et pointe du doigt une stratégie gouvernementale qui ouvre les supermarchés et églises mais prolonge la fermeture des théâtres et des cinémas. La 46ème cérémonie des César, qui s’est tenue en comité réduit à l’Olympia, a été marquée par les prises de paroles politiques et les appels à l’aide.
L’humoriste Elie Semoun a cette semaine interpellé le gouvernement. Dans un post Instagram, le comique s’interroge sur les raisons qui poussent le gouvernement à ne pas relancer la vie culturelle. Quelques mois plus tôt, il avait dénoncé le confinement « quasi criminel » qui avait « tué » son père, malade d’Alzheimer.
De son côté, le violoniste Renaud Capuçon s’agace de constater qu’en Espagne, les spectacles ont repris, contrairement à la France. Très présent sur les réseaux sociaux pendant le premier confinement, l’artiste offrait un concert quotidien sur Twitter pour garder le moral.
Certains secteurs ont cependant profité de cette crise malgré eux. Les nouveaux modes de vies et de consommation imposés par le confinement ont boosté les ventes de certaines entreprises, dans le domaine informatique par exemple. Les sites de livraison et les services de portage de repas ont aussi enregistré une croissance très élevée, tout comme le secteur de l’équipement de cuisine. Sans surprise, les entreprises qui œuvrent dans le domaine pharmaceutique et médical se sont également développées, en raison notamment des besoins croissants en masques chirurgicaux et autres fournitures médicales.
Alors, un an après le Grand Confinement, que reste-t-il de ce choc collectif ? Une nouvelle mesure de cette ampleur peut-elle être décidée par l’exécutif ? Quel avenir pour le secteur culturel ? Les nouveaux modes de vie et de consommation sont-ils appelés à perdurer après la crise ?
Invités :
- Fanny Guinochet, éditorialiste France Info – spécialiste des questions économiques et sociales
- Sophie Aurenche, journaliste à RTL en charge de la crise sanitaire
- Jean Viard, (en duplex) sociologue, directeur de recherche Cevipof/CNRS
- Dominique Seux, (en duplex), directeur délégué de la rédaction des Echos
https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/2307439-emission-du-samedi-13-mars-2021.html
Mars 2021
Publié dans Santé et malvoyance
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Alors que sévit la peur orchestrée par les « sachants en mars 2021
Publié dans Chansons
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Sud marocain
Samedi 20 février, Olivier accompagné de sa famille s’envolait pour le sud marocain. Il m’envoyait un message de Tiznit qui se situe dans la région de Sousse et à vol d’oiseau, à quinze kilomètres de l’océan Atlantique, à quatre-vingt kilomètres au sud d’Agadir.
J’avais demandé à Olivier de me ramener du Maroc de hydroxychloroquine au cas où je serais confrontée au coronavirus. Car je sais que dans de nombreux lieux français médicalisés, on ne soigne pas et l’hôpital en général aggrave plutôt la maladie et utilise le Ritvotril pour amener à une « mort douce » alors qu’il existe des médicaments pour soigner.
A qui profite le « crime » ? A vous de trouver la réponse…
Pour sa part, le Maroc a choisi de miser sur le tout chloroquine si bien que l’État s’est emparé de tout le stock et a dévalisé les pharmacies. Mon fils n’en a pas trouvé, le pharmacien lui répondant que ce médicament était réservé aux hôpitaux.
Olivier m’annonçait partir ce lundi pour Tafraoute, une oasis dans l’Atlas (photos ci-dessous).
Ci-jointes aussi quelques vues de l’Atlas du sud et de l ‘oasis d’Aït Mansour ou la perle de l’anti-atlas marocain : https://www.youtube.com/watch?v=8Eq3CmN-4lo
J’arrête ici ce voyage marocain, la trouille du coronavirus étant passé par les vols pour Düsseldorf : vol de retour annulé bien sûr au dernier moment, test PCR obligatoire, retour dans une autre ville, récupération du véhicule en Allemagne, anxiété de se trouver bloqué. Décidément, les décisions politiques prises pour éviter ce coronavirus font ch… et gâchent cette fin de congé !
https://www.youtube.com/watch?v=RK3J2sDEQ1M
Mars 2021
Publié dans Voyages
2 commentaires